samedi, février 04, 2006

Départ volontaire

Le Départ volontaire à l’ONCF est déclenché, comme d’habitude personne n’a recueillis l’avis des cheminots sur cette décision, fidèle à notre vision dans ce blog, nous vous donnons la parole sur ce sujet.

28 Comments:

At 1:10 PM, Anonymous Anonyme said...

Ca arrangera aussi bien la Direction qui réduira son effectif et les cheminots qui veulent se libérer de l’esclavage et ça sera une bonne chose aussi pour les quelques responsables qui resteront à l’ONCF éternellement afin d’avoir une bonne part du gâteau.

 
At 1:13 PM, Anonymous Anonyme said...

Il est ou le syndicat, au moins confirmer ça, ou bien ils sont occupée par leurs intérêt, si au moins les syndicats font juste un effort juste pour communiquer sur ce qui se passe dans les coulisses de l’ONCF.

 
At 3:37 PM, Anonymous Anonyme said...

cé non encore officiel mais 1 mois1/2 par an plafoné à 36 mois + une retraite anticipée avec abattement = Au licenciement économique prévu par la moudouana.Pire encore puisque le licenciement économique prévoit une éxhonération de l'IGR....

 
At 1:16 PM, Anonymous Anonyme said...

messieurs les syndicats UMT,CDT,PJD ont déja commencé leur campagne pour le départ volantaire d apres les premiers contact avec le cheminot ils nous préparent a un départ volontaire pas comme les autres si non c est les demandes d explication et mutuation comme dans le tremps d un certain alaje et rachidi.ont dit que la diréction a déja préparé la liste des concernés par ce départ sans les concerter bien.vive nos syndicat et notre direction.
cheminots le temps de la rigolade est bel et bien terminé.

 
At 10:46 AM, Anonymous Anonyme said...

je dit de ne pas formuler des demandes de depart avant de savoir tous les conditions des departs alors que les quatres syndicats maisons menentr leur compagne pour en faveur de la direction sans savoir les modalites du depart

 
At 4:59 AM, Anonymous Anonyme said...

je pense que ça sera un depart pas comme les autres surtout que les institutions financières internationales et les pouvoirs politiques et administratifs du secteur ferroviare ne veulent pas liée la nouvelle approche de restructuration (privatisation partielle)avec le facteur humainle transfert et le redéploiment des agents en commun accord avec les représentants du personnel qui sont souvent marginaliser,et d'edifier un véritable changement de mentalité ches les diregents

 
At 6:21 PM, Anonymous Anonyme said...

depart volontaire:Une catastrophe sociale programmée conjointement signée par la DG et l'association des mailfaiteurs syndiquée .un fameux document officiel s'adresse aux cheminots est apparu dernierement et qui met en place une serie des conditions et modalités draconienne pour des eventuelles departs volontaires sous prétexte que cette offre répond aux attentes des travailleurs de rail qui souhaitent en bénéficier. ces derniers ont marre d'avaler des couleuvres.ce qu'ils veulent à leur tour,c'est du concret;de l'action plutot que des mensonges .c'est sur cette base que les éternelles diregents de futur entreprise ferrovaire doivent mettre en exercice des idées nouvelles,des prespectives inédites.ils doivent savoir pertinemment qu'il n'ya plus assez d'idiots pour croire ces idiots. ci_joint quelques propositions stimulant cette offre DV 3/2006 *l'indemnité totale est égale à 2 mois desalaire pan année de service ,pouvant atteindre le plafond 48 mois de ce salaire. *le montant total de l'indemnité de depart sera arreté dans la limite de la somme des salaires annuels qui restent à servir jusqu'à l'age de depart à la retraite normale . .

 
At 9:46 AM, Anonymous Anonyme said...

depart ?volontaire? QUEL DEPART ! qu'est le volontaire ?QUI?QUI? MOI NON PLUS !cher cheminot reveille toi c'est le risque,,,,,!

 
At 4:24 AM, Anonymous Anonyme said...

simple question les postes qui figurent dans la note sonnent toujours occcupés ou peut on trouver des renseigements .ou tiens cela ne srait pas fais expres par hasard.

 
At 10:00 AM, Anonymous Anonyme said...

Le départ volontaire permet à l'ONCF une baisse des charges salariales et sociales.meme en recrutant par la suite, il est gagnant. Car, il va payer des salaires et des charges sociales moindres moindres.Il aura au fur et à mesure des départs du personnel , un effectif assujetti à des conditions trés favorables à l'ONCF (contrat selectif et à temps,possibilité facile de licenciement , salaire bas).Il faut noter également, l'asence de conbativité des syndicats déjà maison, facilitée par l'égoisme du cheminot.
Tous ces facteurs ne jouent pas en faveur des travailleurs. Bien au contraire.
Quant aux conditions de départ, le cheminot doit prendre un crayon et bien calculer, s'il ne veut pas etre surpris.Sait-il le faire?
That the question!
Les syndicats, l'aderaient-il?
That the question!
Cependant , financièrement,l'ONCF est gagnant, à moyen terme.A long terme il le paiera tres chère, trés trés chère.
Mais aprés moi le déluge.aussi bien pour l'ONCF que pour le cheminot.
c'est le pauvre contribuable qui paiera la facture.
A bon entendeur salut.

 
At 1:21 PM, Anonymous Anonyme said...

Enfin, les commandants de l’ONCF décident, après une longue réflexion sage et calculée, de donner le droit, et quel droit ! au départ volontaire à la retraite des cheminots, moyennant l’octroi d’une prime calculée sur les mêmes bases que celles appliquées par les autres organismes de l’Etat, bref. Sic, on ne parle que de ça, tout le monde est déconcentré, et on ne pense qu’aux primes et à la pension et bien entendu, à la condition, sine qua non, des 21 ans de service au moins.

L’observation incontournable, à ce propos, c’est ce découvre chacun des intéressés, en prenant conscience de sa pension et de sa modicité, faute au RCAR, au plutôt aux conditions infligées par les colonels de l’ONCF aux modestes Cheminots, avec la complicité de mauvais syndicalistes.

Il est temps que ces fameux colonels réparent ce tort, et reviennent à la raison, les cheminots ne sont pas responsables des problèmes ayant conduit au choix du RCAR. A la Direction Générales d’assumer son entière responsabilité en couvrant ces pauvres gens. Assez d’avarice et d’ignobilité. Après tout c’est question de « quelques dollars de plus », et ça ne touche nullement la poche personnelle de qui que ce soit.

Si ce sera le cas, le départ des cheminots sera fluide et intemporel et pas besoin de ces maudits millions. Et attention, la réparation s’impose, car même si les syndicats ne réagissent pas ils seront tirés pas le bout du nez, c’est certain. « la nature n’accepte pas le vide ».

 
At 12:50 AM, Anonymous Anonyme said...

المكتب الوطني للسكك الحديدية:
ساعة الحقيقة... عند الامتحان يعز المرء أو يهان

ليس عيبا أن يخطأ المرء لأنه من الخطأ يتعلم الناس، ولكن العيب أن يتجاهل الإنسان خطأه ويتمادى فيه، فالقاعدة عند الشجعان هي الإعتراف بالخطأ والإقرار بالهزيمة في حالة الفشل.
من هذا المنطق القار والثابت وهذه النظرية الواقعية السائدة في كل المحافل السليمة والشريفة والراقية نعرج على قطاعنا السككي لنناقش بعض الجوانب السلبية التي آلت إليها الأمور في الآونة الأخيرة.
فمن واجبنا كمغاربة نحب وطننا وكسككيين نعتز بقطاعنا أن نقول كلمتنا لنبدي رأينا ونطرح هواجسنا ومخاوفنا و نقرع ناقوس الخطر قبل فوات الأوان وذلك من الزاوية التي نرى بها نحن الأمور في هذا القطاع الاستراتيجي والحيوي للنقل السككي.
لقد تعاقبت على هرم المكتب الوطني للسكك الحديدية عدة إدارات منذ 1994 حاملة معها برامج وتقارير البنك الدولي (النكد الدولي) لتخوض، هذه الإدارات، في تطبيق ما أمرت به دون مراعاة الخصائص والخدمات والطبيعة المهنية والتقنية لهذا القطاع العملاق الذي كان سائرا في طريق النمو والتطور…
فمع سبق الإصرار والترصد أفلحت هذه الإدرات بتواطئ مكشوف مع أهل الفجور النقابي في وأد هذه الحقيقة وإدخال القطاع في دوامة التخبط والإدعاءات بالافلاس وعدم التطور ليفتح الباب أمام السياسات الجديدة والخطط الجهنمية...
لقد عملت هذه الادارات وعملائها من النقابيين المنحرفين مهنيا وأخلاقيا على كسر إرادة السككيين وتجريدهم من كرامتهم والسطو على حقوقهم ومكتسباتهم وبعثرت وظائفهم ومهنهم كما قامت بإبعادهم وتهجيرهم عن أهلهم ومدنهم تحت ذريعة إعادة الهيكلة والانتشار.
فتململ صف السككيين وتفجرت الفتنة والإرتباك وعم السخط والغضب ودخل اليأس إلى النفوس ليفتح باب التقاعد "النسبي" الاضطراري و الإجباري للتخلص من الأعوان بتجربتهم الطويلة، والجيدة على مختلف فئاتهم ومهنهم ووظائفهم. تزامنت هذه الاجراءات القسرية الشيطانية مع إعتماد سياسة التقشف الصارم والدائم على الصيانة وإصلاح المعدات (القاطرات والمقطورات) وتوقيف بعضـــها (La reforme ) والتخلص منها حيث قطعت وبيعت بأسواق الخردة، الشيء الذي أدى إلى نقص واضح في وضعية المعدات كما وكيفا فعوض تدارك الأمر والعمل على سد هذا النقص والتطلع الى المستقبل باقتناء معدات جديدة والاعتناء الجيد بالموجودة، أعطي الضوء الأخضر إلى أشغال نعتبرها ثانوية في هذه الظروف الحرجة حيث صرفت أموال طائلة وبسخاء مثير للدهشة لا لشيء سوى للحصول على شهادة ISO 9001 (الصباغة وترقيع مشاغل بنيت قبل استقلال المغرب بعشرات السنين، كذلك بناء الأسوار... دون مراعاة الأولويات ) فرغم النصح والتنبيهات والانتقادات البناءة التي وجهت إلى هذه الإدارات من لدن الفاعلين ذوي الاختصاص والخبرة في الشأن السككي، أصرت هذه الإدارات على نهجها و سياستها ضاربة عرض الحائط بكل الغايات النبيلة وصيحات الحق، متمادية في غيها وتسلطها. ولعل الاحداث التي عاشها قطاعنا السككي قبيل عيد الاضحى لهذه السنة (2005) وما خلفت من ارتباك وتصدع على جميع الأصعدة والمستويات خاصة المعدات (القاطرات والمقطورات ) لأكبر دليل على فشل السياسات التي اعتمدتها الإدارات السابقة منذ 1994 فصدق من قال: " عند الامتحان يعز المرء أو يهان ".
أمام هذه الحقيقة الجلية والوضعية المزمنة للمعدات التي أصبحت تعاني من كثرة الاستعمال والتقادم والتلاشي، زد على ذلك قلة العناية والصيانة والمراقبة الدائمة والمنتظمة.
فالقاطرات تشكو من عدم القدرة على الجر "L' impuissance de traction " وعدة أعطـــاب
أخرى شأنها شأن المقطورات وهذا ليس بخفي على أصحاب الحال وهنا لابد من الإشارة إلـــى
المجهودات الجبارة التي يقوم بها السككيون من أجل انعاش هذه المعدات المتهالكة التي أصبحت طاعنة في السن (تجاوز بعضها 30 سنة خدمة )، نقول وناكد حتى مشروع القطارات الايطالية لن يحل المشكل بشكل صحي ودائم، لقد آن الأوان للمسؤولين في الادارة الجديدة ان يقفوا وقفة الشجعان دون تعنت أو هروب إلى الأمام بفتح باب النقاش الجاد والاقتراح المثمر وإشراك السككيين ذوي الخبرة وأهل المعرفة للخروج من هذه الحالة المرضية المزمنة التي أصابت القطاع حيث نخرت شغيلته وتصدع العتاد والمعدات والحركة كما تراجعت بنيته التحتية.
أما نحن فنقول:
1-على الإدارة أن ترجع الامانة إلى أهلها وذلك بإعادة هيكلة مديرية المعدات والجر تحت أي صيغة أو شكل، المهم أن يشرف على المعدات والجر وبشكل مباشر ودائم وفي كل مراحل صيانتها واستعمالها أطر ومسيرون وأعوان ذوو تجربة ودراية بهذه الوظيفة قبل أن نصل إلى ما لا يحمد عقباه لأن الاستغناء على مديرية المعدات والجر في التقسيم الجديد كان خطأ جسيما وضربة قاسية ومدمرة للمعدات ومردوديتها.
2-الاعتناء وتأهيل الموارد البشرية التي تعتبر العمود الفقري لكل نجاح وتطور وكما يقال "إنما تبني الأوطان بسواعد رجالها". لقد أصبح القطاع يفتقر الى السواعد المؤهلة والمكونة القادرة على شق الصعاب وأخد المبادرة في الأوقات الصعبة وضمان الجودة بإعطاء المعدات حق قدرها صيانة وتقنينا و فنيا، لا سيما أن هناك تطلعات إلى اقتناء قطارات ممتازة و راقية ( T.G.V). أين هي الأيادي المؤهلة والعقليات الخلاقة التي ستشرف على الإصلاح والعناية بهذا النوع من العتاد و المعدات ؟ أين هي المشاغل القادرة على استيعاب هذه المعدات والعتاد ؟
3-التصالح مع السككيين وإعادة الكرامة والإعتبار لهم والنهوض بواقعهم المادي والمعنوي وترسيخ الثقة والطمأنينة في نفوسهم. وإلا فماذا تنتظر الإدارة من سككيين بدون كرامة، مسلوبي الحقوق والمكتسبات ومنحوا صفرا كتنقيط سنوي ؟ ماذا تنتظر الإدارة من سككيين غرقى في الديون ويعيشون تحت وطأة الفقر وغلاء المعيشة وابتزاز سماسرة القروض والسلف؟ ماذا تنتظر الإدارة من سككيين شاخوا وشاخ حتى صغارهم ( أصغر سككي يتجاوز 30 سنة ) ؟ ماذا تنتظر الإدارة من سككيين أجبروا على امتهان وظائف ومهن ليسوا مؤهلين لها ولم تكن قط من اختصاصهم ؟ ماذا تنتظر الإدارة من سككيين ملزمين يوميا بسفريات مكوكية ( navettes ) تتعدى في بعض الحالات 3 ساعات من أجل الوصول إلى مقرات عملهم ؟ فما بالك بالعودة إلى الأهل...؟ ( حسبنا الله ونعم الوكيل )
تطول بنا الأسئلة وفتح الأقواس، فمجمل القول أن هذا التراجع في الخدمات والعتاد والموارد البشرية المؤهلة والنقص البين في البنية التحتية يعود إلى السياسات غير المدروسة والفاقدة للحكمة و بعد النظر والتهور الإداري التي نهجتها الإدارات السالفة الذكر منذ 1994 والتي اعتمدت على أساليب القهر والترهيب كمقاربة أساسية وعملية لتمرير مخططاتها وبرامجها مع تشجيع ورعاية الارتزاق النقابي وغض الطرف على تفشي الفساد والتسلط في المرافق الاجتماعية التي قدمت على طبق من ذهب إلى رموز الانتهازية والانحراف النقابي والمهني والأخلاقي، الشيء الذي أدى إلى نكبة نفسية عميقة وشاملة ترتب عنها شعور لدى السككيين بالإحباط والتدمر والهزيمة الذاتية. وهذه حالة نفسية خطيرة أثرت سلبا على مردودية القطاع، وهذا أمر خطير كذلك يجب الانتباه إليه والتصدي له بإحقاق الحق ونشر الفضيلة عوض الخوف والخنوع والرذيلة.

 
At 12:58 AM, Anonymous Anonyme said...

A méditer



Départs volontaires : les mauvais calculs de l’Etat
Les critères initialement fixés se sont révélés insuffisants, les arbitrages sont un casse-tête pour les ministères.
En l’absence de diagnostic et de système d’évaluation, il est difficile de retenir les bons profils qui veulent partir.
Mal ficelée, l’opération risque d’alourdir l’administration.
Lancée le 3 janvier 2005, l’opération des départs volontaires dans l’administration, baptisée «Intilaka», est aujourd’hui à mi-parcours. Cette fois-ci, la formule semble avoir pris. Les chiffres fournis par le ministère de la Modernisation des secteurs publics (MMSP) sont éloquents. Ainsi, du 3 janvier au 21 mars, l’administration a enregistré 18 034 demandes de départ. La cellule centrale mise en place au niveau du ministère de tutelle a reçu près de 12 100 visites, 5 800 appels téléphoniques, sans compter les 280 000 consultations, 400 000 simulations sur internet et 1 300 demandes d’informations adressées par mail.
«Intilaka» est manifestement un succès, mais encore... Quelle évaluation peut-on en faire à mi-parcours ? Le ministre de la Modernisation des secteurs publics, Mohamed Boussaïd, tout en se gardant de crier victoire, insiste sur la difficulté d’évaluer car aucun objectif chiffré n’avait été initialement fixé à l’opération. Sans oublier, dit-il, que les trois prochains mois apporteront leurs lots de partants. Il faut dire que l’opération fait l’objet d’un suivi personnel du ministre qui reçoit un tableau de bord statistique chaque jour, et de Driss Jettou, qui n’a jamais tenu autant de réunions avec son ministre de «l’administration».
Paradoxalement, et près de trois mois après le démarrage de l’opération, aucune information fiable n’est fournie sur le profil des partants, leur répartition par type de ministère, par grade, par catégorie... Difficile de croire que cette information n’existe pas alors que les demandes sont centralisées au niveau des directions des ressources humaines de chaque ministère mais également au niveau du MMSP qui reçoit les copies des demandes. L’Etat a-t-il quelque chose à cacher ? En l’absence de données précises sur les profils des prétendants au départ, l’évaluation reste difficile, mais pas impossible. Même s’il se défend d’avoir un objectif chiffré, Mohamed Boussaïd n’en a pas moins fixé des objectif qualitatifs à l’opération «Intilaka». Objectifs qu’il a clairement énoncés dans une présentation publique faite à la veille du lancement de l’opération.

Qui doit partir et pourquoi? Personne n’a la réponse
Le premier objectif devait permettre à l’Etat de résoudre la problématique de répartition des fonctionnaires, notamment en remédiant au sureffectif de certains départements et de certaines catégories. Question simple ? Comment savoir si l’opération permettra de résorber les sureffectifs par département et par catégorie alors que, justement, le gouvernement ne disposait pas d’un diagnostic détaillé pouvant renseigner sur les départements en sureffectif, en sous-effectif ou encore les catégories pléthoriques ? N’aurait-il pas d’abord fallu mettre en place ce «référentiel des emplois et compétences», qui aurait permis à l’administration de déterminer quels étaient les postes nécessaires et les profils adéquats pour un fonctionnement optimal. Ce référentiel faisait pourtant partie de la feuille de route sur laquelle s’est engagé l’Etat dans le cadre d’un prêt d’appui à la réforme de l’administration, de 100 millions de dollars, accordé par la Banque mondiale en juin 2004.
Sans diagnostic préétabli, l’Etat, pour éviter le risque d’échec vécu lors de la première opération de départs volontaires, a ouvert les portes à tous les fonctionnaires. On se retrouve ainsi avec 9 000 candidats à l’Education nationale et 600 au ministère de la Santé dont 150 accordées, 150 refusées et 300 à l’étude. Comme le souligne M. Boussaïd, ce ne sont pour l’instant que des demandes qui ne vont pas toutes se traduire en départs effectifs. La hiérarchie se réserve en effet le droit de refuser le départ à un candidat pour nécessité de service. Se pose alors la deuxième question : sur quels critères accorder ou refuser une demande ? La nécessité de service veut que l’on retienne ceux qui sont indispensables, donc implicitement les bons. Or, à ce jour, il n’y a jamais eu dans l’administration un système d’évaluation permettant de dire si un fonctionnaire est indispensable, encore moins s’il est bon. Un tel système nécessite, en plus du recensement, non achevé à ce jour, de savoir ce que fait chaque fonctionnaire, comment il le fait et pourquoi. Retour au «référentiel».
L’absence d’une grille d’évaluation commence à créer des problèmes et la pression sera de plus en plus forte à mesure que les départements feront les arbitrages. Les ministères les plus submergés par les demandes ont été obligés de mettre sur pied des commissions internes pour statuer sur les dossiers, retenant dans un premier temps des critères sommaires comme l’âge, l’ancienneté et l’état de santé. Plus encore, le ministère de la Santé a dû donner un tour de vis en ce qui concerne les médecins et les infirmiers. Ainsi, dans certaines spécialités rares ou en sous-effectif, les médecins ne seront tout simplement pas autorisés à partir.

Deux facteurs de démotivation chez ceux qui restent
Le deuxième objectif fixé à l’opération était officiellement de permettre à l’administration de concentrer ses recrutements futurs sur les compétences et les besoins réels, surtout dans les secteurs sociaux. Or, aujourd’hui, la moitié des candidatures concernent l’Enseignement, une autre grande partie la Santé alors que les Finances, l’Intérieur ou l’Equipement affichent des listes bien maigres. Où est la priorité qu’on voulait donner aux secteurs sociaux ?
Autre question qui se pose, celle des profils des partants. D’un côté, ce sont forcément les bons qui vont partir car sûrs de leur compétence et de trouver aisément un job dans le privé. Première crainte : ne resteront dans l’administration que les «bras cassés» et les «planqués». Le ministre de la Modernisation des secteurs publics fait remarquer que «les fonctionnaires qui sont bons et qui ont intégré la fonction publique par amour et par vocation ne la quitteront pas». L’amour de la fonction publique serait-il plus fort que le confort que procure une somme rondelette et la possibilité de se recaser dans le privé ? Il est permis d’en douter. En supposant qu’on arrive à gérer correctement cette «nécessité de service», en retenant les «bons», on aura accordé une prime à la médiocrité. De même, entre deux collègues à compétence apparemment égale et de même niveau hiérarchique, comment justifier que l’on accorde à l’un ce que l’on refuse à l’autre. En clair, le risque de démotivation chez les non «élus» est réel, d’autant plus que l’Etat s’est subitement rappelé qu’il avait des fonctionnaires fantômes dans ses effectifs. Des fantômes qui seront tentés d’échapper au couperet en s’insérant dans le processus de départ volontaire. Selon des sources fiables, l’Etat serait disposé à fermer les yeux, dans la logique «pertes et profits». A la prime à la médiocrité s’ajoutera une prime au non travail. Quel sera l’état d’esprit de ceux qui restent «par amour de l’administration» ? L’administration, déjà inefficace, le deviendra-t-elle davantage ?
Peut-être, et certainement moins lotie en cadres. Le niveau des indemnités étant indexé sur le salaire, ce sont les échelles 10 et plus, donc les cadres, qui seront les plus nombreux à partir, leurs indemnités étant plus intéressantes. Mohamed Boussaïd assure qu’à ce jour «la population des partants reflète presque la structure de l’administration en termes de catégories». Le terme «presque» est à prendre avec des pincettes quand on sait que les échelles 10 et plus représentent environ 55% des partants alors qu’elle ne sont que 45% de l’effectif des fonctionnaires et on se demande si le fossé que représente le «presque» ne va pas s’aggraver. La première opération de départ volontaire, lancée en 2004, et qui avait été limitée aux échelles 1 à 9, n’avait drainé que 1 000 demandes.

Economiser de l’argent ou dégraisser le mamouth ?
Enfin, la position du gouvernement dans cette opération n’en est pas à une incohérence près. En 2004, le ministre des Finances affirmait que la limitation des départs aux échelles inférieures avait pour but de «ne pas affecter le taux d’encadrement de l’administration». Une crainte qui se trouve aujourd’hui justifiée puisqu’il a suffi qu’on élargisse le départ aux cadres pour que les chiffres explosent. Qu’est-ce qui explique alors que le gouvernement ait changé d’avis entretemps ? En fait, dans l’ancien schéma, les simulations avaient démontré que les gains que représenteraient les départs volontaires n’étaient pas conséquents à cause du niveau bas des salaires dans les catégories ciblées. En 2003, les premières simulations avaient démontré que la masse salariale ne devait représenter que 11% du PIB à l’horizon 2007, contre 12,50 % en 2004 et 12,80 prévus en 2005. Ce qui de l’avis des experts de la Banque mondiale était très modeste. D’où l’idée d’ouvrir la porte des départs volontaires aux cadres des échelles 10 et plus. Selon les premières simulations du gouvernement, le départ de 30 000 fonctionnaires (objectif inavoué) nécessiterait une enveloppe de 4,4 milliards de DH au titre des indemnisations et ferait supporter 2,7 milliards à la CMR. Comparés aux 27,7 milliards de DH qu’aurait dû payer l’Etat si ces fonctionnaires restaient jusqu’à l’âge de la retraite, cela fait, à moyen terme, un gain cumulé d’environ 20 milliards de DH pour le Trésor.
Mais ce gain constitue-t-il la finalité de l’opération ? Non, car il s’agissait surtout de dégraisser le mamouth et, en ce sens, l’opération de départs volontaires est une bonne initiative. Ferid Belhaj, représentant de la Banque mondiale au Maroc, y adhère pleinement. «La formule, commente-t-il, semble cohérente et bien pensée. Je pense que, quels que soient les travers que cela peut générer, la finalité est bonne». Mais, a-t-on mesuré les complications nées d’un nettoyage qui fait fi du diagnostic ? L’Etat a ouvert la boîte de pandore dont les mauvaises surprises pourraient surpasser les bénéfices attendus. Pourquoi ne pas avoir entamé d’abord la chasse au 80 000 fonctionnaires fantômes ? Après tout on aurait pu expurger l’administration de 40 000 fonctionnaires au moins, soit 10 000 de plus que les 30 000 ciblés. Espérons que l’on se trompe et que l’Etat ait raison .

Du 3 janvier au 21 mars, la cellule «départs volontaires» du ministère de la Modernisation des secteurs publics a enregistré 18 034 demandes de départ, 280 000 consultations, plus de 12 000 visites et 5 800 appels téléphoniques.

 
At 1:11 AM, Anonymous Anonyme said...

مقارنة ما بين الصندوق الداخلي السككي للتقاعد و النظام الجماعي لمنح رواتب التقاعد

أن سن التقاعد بالنسبة للنظام الجماعي هو 60 سنة و 55 سنة بالنسبة للعمال المكدين بدلا من 55 و 50 سنة عند السككي. و إذا أراد الشخص أن يتقاعد بعد 55 سنة فسيطبق على معاشه تخفيظا بنسبة 24%.و 13% بالنسبة للمكدين.

إن الذهاب المبكر بعد 21 سنة ممكن في الحالتين غير أن النظام الجماعي يطبق على المعاش إنخفاظا بنسبة %4.8 لكل سنة مستقبلية مع حد أقصى و هو 24% أو 13% في ما يخص العمال المكدين.
أما نسبة الانخراط فهي 6% بالنسبة للمنخرط و 12% بالنسبة للمكتب بدلا من 7 و 14% داخل السكك الحديدية.
أما أساس نسبة الانخراط بالنسبة للنظام الجماعي فهو مجموع الراتب الخام الخاضع لضريبة الدخل مع قدر أقصى كان سنة 1996 99360 درهم.
أما بالنسبة للنظام السككي فيتكون من الراتب الأصلي زائد تعويض الإقامة و المكافئة السنوية و الاستغلالية والمكافئة الخاصة والإنتاجية و 50% من مكافئة الملحقين.والإطار.
أما المدة التي تأخذ بعين الاعتبار فهي السنين التي قضيت فعليا ابتداء من 18 سنة زيادة على المدة التي قضيت في الخدمة العسكرية بالنسبة للقانون السككي.
أما في النظام الجماعي فالمدة تحسب من الستة التي أخلق فيها النظام الجماعي عام 1977.مع إمكان الشخص من استرجاع بالشراء، المدة السابقة التي قضاها في نظام آخر..
أما الراتب المرجعي الذي يحسب به المعاش فهو آخر راتب تقاضاه العامل و ذلك بالنسبة للقانون السككي. أما بالنسبة للنظام الجماعي فهو معدل الأجر المقوم و الذي تقاضاه العامل كل مدة عمله
أما المعاش فيحسب كما يلي بالنسبة للنظام الجماعي : يضرب. الراتب المعدل بعدد السنين و ب %2و لا يمكن لهذا المعاش أن يفوق أكثر من 90%من المرتب المعدل المقوم من مدة العمل بأكملها. أما بالنسبة للصندوق الداخلي السككي فيضرب آخر راتب بعدد السنين و ب 2.5%.
-أما الزيادة عن الأطفال الثلاثة و ما بعدهم فهي منعدمة عند النظام الجماعي بينما في النظام الداخلي فهي بنسبة 10% بالنسبة للأطفال الثلاثة الأولين الذي وصل عمرهم ستة عشرة سنة و5% لكل طفل آخر وصل السن السادسة عشرة. هذه الزيادة تطبق و لو بعد التقاعد.
-أما في ما يرجع إلى إعادة تقويم المعاش فيعدل حسب رفع أجور المزاولين بالنسبة للنظام الداخلي. أما في النظام الجماعي فالمعاش يرتبط بتبديلات الراتب المعدل للمنخرطين.
أما في ما يرجع إلى حق استرجاع المال بعد الوفاة فلا فرق ما بين النظامين %50 للأرملة و 50% للأطفال الذين يقل عمرهم على 21 سنة.
هذا فيما يخص قانوني النظامين. و هنا ألفت النظر أنه لا يمكن لأي كان أن يخالف القانون إلا بقانون آخر.و إذن فليكن في علمكم أن تفويت تقاعد المزاولين إلى النظام الجماعي لا يمكن أن يتم إلا حسب فانون هذا النظام و ذلك حرفيا.

لذا و في ما يخص النظام الجماعي نسجل فرقا شاسعا بالنسبة المئوية للقسط السنوي 2 في المائة بدلا من 2.5 في المائة؟ هذا يؤدي إلى تقصان قيمة المعاش ب 20 في المائة.
نلاحظ كذلك غياب الإظافة من أجل الأطفال و الإسكان الإجباري.
و من ناحية أخرى فإن الراتب المعدل و ليس الراتب إبان التقاعد هو الذي يأخذ بالاعتبار من أجل حساب المعاش. و هذا العجز القانوني ينتج عنه انخفاظ بنسبة 22 في المائة من المعاش.
نرى كذلك أن الذهاب المبكر على 55 سنة قبل60
يترجم بتحفيظ كبير يقدر ب 24 في المائة.
, لكن بالعكس فإن أساس حساب المعاش أقوى شيئا ما بحيث تحتسب مكافئتي الملحقين والإطار 100 في 100 بدلا من 50 في المائة. ولكن هذا لا يهم إلا عددا قليلا جدا من المستخدمين دوي الشواهد الكبرى نسبيا,و هاته الزيادة لا تفوق 7%.

أما إعادة تقويم المعاش داخل النظام الجماعي الذي يقدر حاليا ب 3.7 في المائة فهو في انخفاظ وليس مضمونا طول الزمن. بل محتملا لأن هاته الحالة سوف لا تزيد الوضع إلا تأزما خطيرا على المدى المتوسط والطويل إذا نحن أخذنا بالاعتبار ارتفاع معدل الحياة و ارتفاع عدد المتقاعدين مع معاشاتهم القوية واقتصاد لا يبشر بالخير حيث نسبة البطالة تتفاحش يترتب عنها ركود مداخل الانخراط يؤدي لا محالة إلى انخفاظ نسبة التقويم.

و من الناحية النفسانية فمن الصعب أن يقبل الناس تخفيظ المعاش مع الوعد واحتمال تحسينه مستقبليا.

مثال جدول التقييم
السنة راتب سنوي للمنخرط و نسبة الزيادة راتب معدل للنظام و نسبة الزيادة نسبة التقويم الراتب السنوي المقيم للمنخرط
5 % سنويا 4% سنويا
1 12000 9000 2.883 34596
2 12600 9360 2.772 34927
9 17729 12317 2.107 37355
19 28879 18232 1.423 41095
28 44801 25950 1 44801
جمع 28 سنة 1105710

2.883=25950 :9000 34596=12000x2.883
2.772=25950 :9360 34927=12600x2.772
2.107=25950 :12317 37355=17729x2.107
Etc. etc. etc. etc.
و الآن لنأخذ مثالا حيا لعامل تقاعد عن سن 55 عاما كما ينص عليه النظام السككي بعد أن قضى 28 سنة في الخدمة داخل السكك الحديدية و أنجب 3 أطفال فات سن كل واحد منهم 16 سنة كان راتبه الشهري إبان ولوجه المؤسسة 1000 درهم.و ارتفع هذا الراتب في أحسن الأحوال بنسبة %5 سنويا حتى صار هذا الراتب الشهري بعد 28 سنة 3733 درهم في آخر عمله.(1)

و كان الراتب الشهري المعدل للنظام الجماعي إبان ولوج الشخص المؤسسة هو 750 درهم و نسبة ارتفاع السنوي لهذا الراتب المعدل هي 4%.في أحسن الأحوال لأن النسبة الحالية إلى كتابة هذا المقال هي 3.7% .فالحسابات تعطينا بعد 28 سنة راتبا شهريا معدلا يقدر ب 2162.50 درهم.
يبقى لنا أن نحسب الراتب الشهري المقيم و دائما داخل النظام الجماعي والذي هو الأساس لحساب المعاش، و ذلك بحساب نسبة التقويم السنوية والتي تحسب بقسم الراتب السنوي المعدل سنة التقاعد بالراتب السنوي المعدل لكل سنة على حدا.
أما الراتب المقوم والذي على أساسه يحسب المعاش داخل النظام الجماعي فيحسب كما يلي: تضرب نسبة التقويم السنوية بالراتب السنوي للعامل للسنة المطابقة لهذه النسبة. بعد ذلك تجمع جميع الرواتب السنوية المقيمة للشخص لمدة 28 سنة التي قضاها في العمل. بعد ذلك يحسب الراتب السنوي المعدل والمقيم بقسمة الراتب الإجمالي للمدة الكاملة للمهنة ب 28 سنة. وهذا الراتب السنوي المعدل والمقيم يقسم على 12 شهرا ليعطي الراتب المعدل والمقيم من أجل احتساب المعاش الشهري ويساوي في الأخير 3291 درهم (2)

ماذا نري:
أولا:أن الراتب المعدل والمقيم 3291 درهم (2) للنظام الجماعي منخفظ بنسبة13.4% بالنسبة لآخر راتب شهري للشخص و هو3733 درهم (1)
ثانيا :لنحسب المعاش في كلتي الحالتين:
في النظام الجماعي:
3291 X 28 X 2% =1843 درهم.. هذا العدد سيخفظ بنسبة 24% لتقاعد الشخص بعد 55 عاما بدلا من 60.
فيصير المعاش النهائي 1401 درهم(3)

في النظام السككي:
3733X 28 X 2.5%= 2613درهم. في الحالة العادية.. نرى في هاته الحالة أن معاش النظام الجماعي منخفظ ب 86.51% بالنسبة للمعاش السككي.
و إذا نحن زدنا 10% من أجل الأطفال
فسيصير المعاش النهائي 2874.3 درهم (4)
نرى في هاته الحالة الأخيرة أن معاش النظام الجماعي منخفظ ب.
105.14% بالنسبة للمعاش السككي.



السنة راتب سنوي للمنخرط و نسبة الزيادة راتب المعدل للنظام و نسبة الزيادة نسبة التقويم الراتب السنوي المقيم للمنخرط
5 % سنويا 4%
1 44800 25950 1.265 56672
2 47040 26988 1.217 57248
3 49392 28068 1.17 57789
4 51862 29191 1.125 58345
5 54455 30359 1.082 58920
6 57178 31573 1.04 59465
7 60037 32836 1 32836
الجمع 381275

مثالP1+P2
لنأخذ نفس المثال و نزيد عليه أن الشخص ولج السكك الحديدية في سن العشرين و عمل 28 سنة تحت النظام السككي ثم 7 سنين تحت النظام الجماعي وتقاعد عن سن 55

فالحسابات تعطينا الجدول أعلاه للتمكن من معرفة الراتب السنوي المعدل و المقيم الذي يدخل في حساب المعاش.

فنرى أن مجموع الرواتب السنوية المقومة السبع التي قضاها العون تحت النظام الجماعي هو 381275 درهم. إذا قسمنا هذا الرقم ب 7 سنين ثم ب 12 شهرا فسيعطان الراتب الشهري المقيم لجميع المدة التي قضاها العون تحت النظام الجماعي و هو 4539 درهم
نذكر أن أن الراتب الشهري و الأخير داخل النظام السككي بعد 28 سنة كان 3733 درهم.الذي أعطانا معاشا قدره 2874 درهم و هو الذي سموه (P1)

أما 7 سنين الذي قضاها العون تحت النظام الجماعي أعططنا المعاش الشهري التالي
4539 X7 X2%=635 درهم و يسمى ب P2
إذا نحن أظفنا P1 إلى P2 فسيعطينا جمعا قدره 3509 درهم. و حيث أن العون تقاعد عن سن 55 بدلا من 60 فيبطبق على هذا المعاش انخفاظ نسبته %24 و يصير قدر المعاش النهائي 2667 درهم.

و إذا نحن حسبنا المعاش لمدة 35 سنة الذي قضاها العون في الخدمة و تحت النظام الداخلي للسكك الحديدية فسيعطينا ما قدره حسب الراتب الأخير و هو 60037 في السنة الأخيرة )انظر الجدول الأخير ( و 5253 في الشهر الأخير:
5253X35X2.5% =4596 و إذا نحن أظفنا الزيادة على الأطفال وهي 10 في المائة فسيصير المعاش الشهري النهائي 5056 درهم بدلا من 2667 درهم التي تمثل النصف تقريبا من المعاش السككي.

 
At 3:20 AM, Anonymous Anonyme said...

Le" départ volontaire", constitue une nouvelle crise d'identité du cheminot.C'est l'heure des bilans, la plupart du temps, mélancolique, des fois positif, des fois négatif.On jette sur sa vie écoulée un regard empli de fierté ou de chagrin et de regrets d'avoir intégré l'ONCF.Il doit affronter une réduction de ses revenus, certains la perte du réseau de relations et du soutien du milieu du travail. Il se retrouve face à lui mème privé de tout ce que lui apportait l'entreprise.le desarroi profond que pourrait accompagner la perspective de devoir quitter ce qu'a fini par devenir une "seconde peau collée", et perdre une assurance et une sureté.
Partir devient décision difficile à prendre.

 
At 10:36 AM, Anonymous Anonyme said...

les syndicats et la DG n'ont cesses de camoufler le mal qui va etre fait aux cheminots par le régime de retraite au quel on a été inclus sans notre accord avec la seule bénédiction de nos chefs syndicaux.avec ce DVD,la plait s'est ouverte,vu la misére qui reste comme pension.tout le monde ne parle que de ça.c'est vraiment malheureux.je pense qu'il est grand temps de bouger et de réagir pour récupérer ce qui nous a été volés.tout d'abord l'abattement et la renégociation de la passation de la retraite,càd nous chercher de meilleures conditions de passation.c'est vraiment inconcevable ce qui nous arrive;donner à la boite tout notre temps,notre jeunesse et notre santé et puis sortirvieux,malade avec une misére comme salaire.même pas assez pour s'acheter les médicaments des maladies de vieillesse telle dibéte,probléme cardiaque et tension artérielle.j'aimerais bien que tout le monde prenne conscience de notre probléme.créons des associations dans toutes les villes ou il y a des cheminots et restons en contact.c'est vraiment le moment ou jamais pour se relever,du KO et demander dommage,c'est le moment de rouvrir le dossier de la retraite,c'est le moment de demander l'annulation de l'abattement des24% de la pension.si on laisse passer cette occasion on ne se relévra plus jamais.

 
At 11:44 AM, Anonymous Anonyme said...

l accord etait passé entre les syndicats et la direction.sans qu ils nous disent rien .mais quand on voit la nature de dvd on comprend pourquoi.la seule qualité qu on ces foutus syndicats c est nous convaincre meme lorqu ils nous trahissent.en fait j ai eu une refléxion de la relation entre les sundicats et ce dvd.j ai trouvé que ce dvd decris tres bien nos syndicats:
syndicat=dvd:
*d=demons.
*v=venimineux.
*d=dupes.

 
At 1:01 AM, Anonymous Anonyme said...

En effet, les syndicats sont des démons, excepté la jeune et courageuse Fédération Démocratique du Rail qui a dit NON à l'arnac des acquis.Et qui continue à revendiquer le retour aux acquis.Les cheminots ne l'ont pas entendue.Que faire. Comment le cheminot puisse réagir à tous ces manquements? Par quels moyens.Les associations des cheminots ont été combattus par tout le monde,direction et le cartel des syndicats maison ensemble.Comme d'ailleurs la FDR combattu par ces mèmes énergumènes.Ses membres dispersé sur tout le fréseau font l'objet d'exactions et d'intimidation.Car la carotte n'a rien donné.

 
At 3:17 AM, Anonymous Anonyme said...

cher,cheminot.

on vous demande ,de patienter.on trouvera la soulution a nous problemes mais à condition que vous choisissez le syndicat unique comme,guichet unique dan le marchee.donc à vous de jouer et bien joué....etc

 
At 3:19 AM, Anonymous Anonyme said...

cher,cheminot.

on vous demande ,de patienter.on trouvera la soulution a nous problemes mais à condition que vous choisissez le syndicat unique comme,guichet unique dan le marchee.donc à vous de jouer et bien joué....etc

 
At 9:02 AM, Anonymous Anonyme said...

juste un petit mot.!

je vienne vous dire cher cheminot ;

pourquoi vous etes loin de comprendre;le syndicat ici le pbrobleme;choisir une et une seule;exemple;le syndicat le plus faible ,CNT,FDT ,ETC,,,,! vous allez voir par la suite le resultat clair et net.;;!

 
At 5:40 AM, Anonymous Anonyme said...

c'est très catastrophique pour le pauvre cheminot ,il est temps de se revolter contre tous ceux qui font mal aux cheminots et leurs familles qu'il soit patronale ou syndicale. Le cheminot a payé et payera cher son silence. En conséquence ,il est temps de dire à ceux qui veulent faire de nous des morts vivants:NON ET NON

 
At 1:02 AM, Anonymous Anonyme said...

لا لالالالالا لهذا الصمت الرهيب المتخاذل

 
At 5:26 AM, Anonymous Anonyme said...

Les cheminots veulent se la couler en douce.
Malgré leur situation alarmante, ils ont boudé la réunion organisée hier à Rabat par l’un des syndicats du secteur.

 
At 7:08 AM, Anonymous Anonyme said...

chers ;utilisateursanonymes

essayez de guider le cheminot,vers la bonne voie,au lieu,du critique

sans resultat.!!!!!

 
At 9:20 AM, Anonymous Anonyme said...

"guider le cheminot" est un des roles des syndicats.
Malheureusement, ils sont aux abonnés absents.
C'est malheureux.

 
At 2:21 PM, Anonymous Anonyme said...

la rumeure circule ces derniers temps qu'on va envoyer la moitiede l'effectif de la dsi au dvd ....un dvd force...

 
At 2:27 AM, Anonymous Anonyme said...

le verbe cheminot au present ?
je dore tu dores il arnaque
nous dormons vous dormez ils trichent.
c'est bien de gardé le silence comme on est sur la voie fereé,en tout cas moi j'attend les roue du train car je suis agent oncf.

 

Enregistrer un commentaire

<< Home